Lavement comme une Gourmandise

Catégories : Sodom Enema Lavement / Médical
il y a 3 ans

Je suis une jeune femme pas trop mal foutue, avec ce qu'il faut, où il faut, et s'il m'est arrivé de rentrer seule quand je sortais en boite, c'était toujours le fait de mon choix, et non par pénurie de candidats à me raccompagner. Le problème ne se pose plus aujourd'hui puisque je suis lasse de toujours rentrer avec le même bonhomme, j'ai trouvé qu'il serait plus simple de sortir avec lui, de trouver une petite place pour moi dans sa vie, ou de lui faire une grande place dans la mienne.

En bref, nous nous sommes mariés quoi ! Lui sans être beau mec, il a au moins l'avantage de me plaire, et ce qui n'est pas tout à fais négligeable, nous avons les mêmes valeurs. Coté bagatelle, ni l'un, ni l'autre, n'avons besoin de nous f o r c e r, c'est quelque chose de joyeux, spontané et débridé. La seule limite que je nous impose, c'est mon refus de la sodomie. Il a fort bien compris que je fixe cette barrière, ce n'est pas une question de pudibonderie ou de principe. Seulement étant d'un naturel constipé chronique, je ne trouve pas attirant ni pour lui, ni pour moi, d'aller jouer dans cet endroit sensible, à la propreté incertaine. Pourtant je sais qu'il aimerait essayer.

Après deux ans de vie commune, et à l'approche de son anniversaire, j'ai voulu lui offrir en plus de ses cadeaux, en bonus, et parce que je sais que c'est tout de même une petite frustration pour lui, mon pucelage anal. Mais pas question de le laisser s'aventurer en zone incertaine, je veux lui présenter un derrière parfaitement propre. Je me rends donc chez mon copain le pharmacien, et lui explique à mots couverts mon problème. J'insiste sur le fait que les laxatifs me rendent malade et me provoque des diarrhées et que tout les médicaments que l'on s'enfile dans le derrière m'irritent.

« Evidement, je comprends bien que si vous désirez avoir le rectum parfaitement vide, ce n'est pas le moment d'irriter l'anus » me dit-il avec un œil malicieux, « Mais j'ais de quoi vous arranger cela, venez avec moi dans l'arrière boutique. »

« Donc vous désirez vider complètement votre intestin, pour offrir un itinéraire bis carrossable à votre compagnon ?

  • Je ne l'aurais pas dit en ces termes, mais c'est tout à fait cela.

  • Votre demande n'a rien d'extravagant, et vous n'êtes pas la seule confrontée à ce problème bien légitime. La difficulté supplémentaire dans votre cas est de ne pas supporter les laxatifs, mais cela ne va pas nous gêner si vous acceptez le traitement que je vais vous proposer : Comment supportez-vous les lavements ?

  • Les lavements ? Je ne sais pas, ça se pratique encore ça ?

  • Bien sûr que ça se pratique encore, et c'est ce qui va vous sauver la mise ! Avec un lavement vous pourrez vider votre ampoule rectale sans inconvénient, au moment où vous le souhaitez et aussi souvent que vous le désirerez.

  • Mais je croyais que c'était dangereux et très douloureux ?

  • Nous laissons courir ce bruit erroné pour ne pas perdre notre clientèle de laxatif, un lavement, une fois vendu le matériel ne nous rapporte plus rien ! Il existe deux façons principales de prendre un lavement : La poire et le bock. Généralement les lavements à la poire se préparent avec de la glycérine, ils sont plutôt puissant, donnent de grosses coliques, et soulagent rapidement un rectum encombré. Trop rapidement souvent, car ils sont si efficaces que les matières accumulées n'on pas le temps de s'imbibées d'eau et de se ramollirent. Ce que je vous propose, c'est de prendre un lavement d'eau légèrement salée avec un bock. Vous vous allongez confortablement et vous faites pénétrer doucement dans votre intestin de l'eau tiède salée à un pour cent, c'est à dire la même concentration que l'eau qui se trouve dans votre corps, et vous laissez tremper un temps suffisant pour que le contenu de votre intestin se liquéfie et s'écoule alors naturellement. Vous ressentez juste un ballonnement durant l'opération.

  • Oui, et combien d'eau dois-je supporter ?

  • Deux litres. Mais pas la première fois, vous commencerez avec un demi-litre et vous augmenterez progressivement. C'est vous qui décidez et vous devez vous arrêter avant d'avoir mal. »

Finalement, je me laisse convaincre, et je repars avec tout le matériel et le mode d'emploi pour me purger en profondeur. De retour à notre domicile, je décide de faire séance tenante un premier essai. Je cherche comment installer le bock à une hauteur convenable, et moi de façon confortable. En suite, je mets la quantité d'eau préconisée (un demi-litre) pour la première application et me lubrifie généreusement, comme il m'a été recommandé, l'anus. J'utilise aussi la longue et grosse canule vaginale, il semble qu'elle soit plus confortable. Ne reste plus qu'a m'installer et procéder à l'application du traitement.

La canule me pénètre sans difficulté, après une seconde d'hésitation, j'ouvre la vanne, rapidement je sens l'eau faire son chemin dans mon ventre, ça me chatouille un peu dans le rectum, je sers les fesses plus par crainte que par réelle nécessité. Pour le moment, tout va bien, le bock est maintenant vide, le liquide bouillonne à grand bruit dans mes entrailles. Le besoin d'allez me vider arrive maintenant, mais demeure contrôlable, je sais que je ne dois pas me précipiter. Il avait raison l'apothicaire, son lavement est très efficace, et finalement je décide d'aller évacuer le contenu de mon ventre.

Le lendemain de cette expérience que je juge positive au vu de ce que j'ai expulsé de mon intestin, je décide de recommencer la chose, mais en doublant la quantité. Je me replace dans les même conditions et laisse l'eau m'inonder. Le lavement me pénètre beaucoup plus profondément, je retrouve les mêmes sensations que la veille, plus affirmées, mais je contrôle bien la situation. Après le passage aux toilettes, je constate que mon ventre est devenu bien plus souple qu'a l'accoutumé, et j'ai une sensation de légèreté toute nouvelle.

Le troisième jour, je me prépare un lavement d'un litre et demi. Je m'installe confortablement comme la veille, mais je suis quand même très impressionnée par la quantité que je vais devoir engloutir dans mes entrailles, et par précaution je place le bock un peu moins haut. Le liquide me pénètre plus doucement, mais va s'écouler jusqu'à la dernière goutte. Je me retrouve avec un joli ventre tout rond, je suis surprise de cette extraordinaire élasticité. Je me rassure en pensant qu'un jour je serais enceinte, et ce sera bien pire. La nécessité d'évacuer est précise mais reste contrôlable et je prends plaisir à faire durer la chose. En quelque sorte j'apprivoise mes sensations. Mais finalement bien sûr, je vais me vider, et je suis de nouveau étonnée de la quantité de résidus encore rejetée par mon organisme.

Le quatrième jour, je perds ma jupe ! Surprise, je vais me peser et je constate que j'ais aussi perdu plusieurs kilos. Le malheur n'est pas bien grand, vu leur côté excédentaire, le pharmacien ne m'avait pas parlé de ça, mais à la réflexion cela me semble tout à fais normal puisque j'ais aussi perdu la sensation d'avoir une brique dans l'estomac. Et fait également nouveau, depuis deux jours, je suis débarrassé de ces détestables flatulences. Voilà un traitement peu coûteux qui me fait un bien fou ! Je reprends donc un lavement, mais je reste à un litre et demi.

Les jours suivants je me contente d'un lavement tous les deux jours, mais la date de l'anniversaire de mon chéri approche, et il ne se doute toujours pas de ce que je lui ais préparé. Maintenant que je contrôle parfaitement mes réactions, j'ai envie de le faire participer. Je ne vais pas me contenter de lui offrir un derrière tout propre, je vais lui demander de me faire mon lavement avent de me sodomiser, je suis sûr qu'il aimera ! Et s'il ne veut pas, il n'aura pas mon cul !

Le jour dit, tout se passe normalement, le repas, les amis, les cadeaux, et c'est assez tard et un peu gai que non gagnons la chambre pour croit-il nous coucher. Là sur le lit à sa place encore un cadeau d'anniversaire. Il s'étonne, mais finit par l'ouvrir... Et fais un drôle de tête en découvrant un bock avec tous ses accessoires... Après avoir fait celle qui ne savait rien pour augmenter son désarroi, je finis par lui expliquer que ce cadeau, c'est la permission de me sodomiser, à lui de faire place nette avant d'entrer. Il est un peu abasourdis, mais est assez excité à l'idée de pouvoir enfin me prendre analement. Je lui explique soigneusement comment il doit procéder et prépare moi-même le lavement. M'étant moi-même nettoyée le matin, je me permets de remplir le bock complètement. En voyant ce qu'il doit me faire pénétrer dans le derrière, il s'inquiète, mais je le rassure et lui affirme que ça ne me pose aucun problème.

Je m'installe alors de façon très lascive, et lui offre mon postérieur. La scène est un peu folle. Moi excitée comme une puce, en train de me faire remplir d'eau peu être un peu trop chaude, lui un peu gauche, ne voulant surtout pas me faire mal, effaré par la dilatation de mon ventre, et là sans crier gare, la masse d'eau chaude emplissant mon bas ventre me déclenche un orgasme, heureusement sans conséquences fâcheuses dans mon état de plénitude. Le temps de reprendre tous mes esprits et de le rassurer sur ma santé, et je pare me vider. Un moment plus tard, après une brève toilette extérieur, je reviens offrir un petit trou très propre au monsieur. Il me relubrifie soigneusement, et me pénètre avec douceur et délicatesse, termine sa besogne, et s'endort rapidement.

Au lendemain de cette aventure, nous échangeons nos points de vue. Lui est apparemment enchanté d'avoir pu me prendre de cette nouvelle façon, moi j'explique que, sans en avoir souffert, je n'en retire aucune satisfaction particulière. Je suis un peu déçue. A cette annonce, il perd un peu d'assurance, ajoute qu'en fait il n'en a pas obtenu vraiment ce qu'il en attendait, qu'il avait peut-être trop fantasmé sur la chose et finalement d'ajouter qu'il avait pris plus de plaisir à me faire le lavement, qui somme toute avait eu l'air de beaucoup me satisfaire... Je le rassure, j'ai été aussi surprise que lui de cet effet secondaire et j'ai bien l'intention de continuer à prendre des lavements, qui par ailleurs me font beaucoup de bien. Je lui demande même s'il peu m'aider dans cette besogne, beaucoup plus contraignante à effectuer seule.

Le soir même, ne voilà pas le monsieur qui vient me rejoindre au lit en portant le bock à la main, il prétend qu'il doit s'entraîner pour me soigner correctement. Je suis tellement surprise que j'éclate de rire, mais j'offre de bonne grasse mes fesses devant un tel dévouement. Le lendemain il se représente avec ce qu'il considère comme son cadeau d'anniversaire pour une nouvelle leçon. Je rentre dans le jeu, et lui explique que pour la deuxième leçon, c'est lui qui reçoit le lavement.

Voilà une nouvelle qui le cloue sur place. Il regarde avec angoisse le contenu du bock et le trouve soudain beaucoup trop plein. Je le rassure, un grand gaillard comme lui n'aura aucune difficulté à absorber somme toute, un peu moins de deux litres. Et puis il trouve qu'il est tard, qu'il vaudrait mieux remettre le court à demain, que rien ne presse... Mais pas question ! Le bock est prêt, alors le monsieur baisse sa culotte de pyjama et s'installe confortablement, en me tendant ses fesses. Et sans les serrer ! Il n'en mène vraiment pas large, je ne vous explique pas le mal que j'ai pour trouver son anus, le lubrifier et enfoncer la canule. Ce n'est pas qu'il a peur, mais ça le chatouille et quand je laisse doucement s'écouler l'eau, voilà qu'il ne peut pas se retenir... Je fixe les conditions : S'il veut continuer à me soigner, il prend tout son lavement et le garde au moins dix minutes !

C'était la motivation qui lui manquait, il devient beaucoup plus courageux, absorbe doucement tout le contenu du bock, il fait bien un peu la grimace, mais il est brave, et après l'avoir débarrassé de la canule, je l'invite à se placer sur le dos pour attendre de pouvoir allez se vider. C'est là que je remarque que mon chéri, qui se plaint encore beaucoup, arbore une jolie érection, voilà qui mérite un encouragement ! Alors sans crier gare, j'entreprends de lui faire une gentille fellation. Panique de mon patient qui affirme que si je continue mes conneries' il va sûrement se répandre. Je n'en ai cure, lui qui se la joue toujours un peu macho dans nos câlins, se retrouve en position franchement dominée, j'en profite largement et sans complexe, je sais qu'il se rattrapera certainement quand j'aurais à mon tour la canule dans les fesses, mais je sais aussi que doux et adorable comme il est, ça ne tirera pas à conséquences.

Le monsieur est complètement désemparé, les coliques dans son ventre et la volupté de ma caresse, sont autant de données contradictoires : il ne parvient pas à s'abandonner à ma gâterie tant il craint de ne pouvoir faire confiance à ce malheureux sphincter anale sans entraînement. Pourtant c'est moi qui vais l'emporter et faire exprimer son plaisir à son instrument délicieux.

Lorsqu'il revient après s'être soulagé, il me lance comme une menace : « Tu ne perds rien pour attendre ! » Je suis très fière de moi !

La riposte ne tarde pas, le lendemain prétextant que la télévision ne présentait aucun programme digne d'intérêt, il m'annonce qu'il va s'occuper de mon cas. Il m'intime alors l'ordre d'allez me mettre en tenue et en position pour régler nos comptes de la veille ; voilà qui n'a rien pour me surprendre. Je prends un air soumis, et m'exécute. Sachant parfaitement ou il veut en venir, je me place en position prosternée, exposant largement mon postérieur à ses bons soins. Il ne tard pas à me rejoindre armé d'un bock plein à ras bord. Ma position ne lui convient pas, il me veut sur le dos, jambes relevées et écartées. Tien aurait-il une idée derrière la tête ou bien a-t-il prit des cours quelque part ? D'entré, je me retrouve profondément en canulée et le lavement ne tarde pas à noyer mon fondement.

Alors sans même attendre que le récipient se soit vider, il entreprend de me 'brouter le minou'', caresse dont je raffole et qu'il pratique à merveille. Je me laisse aller, rapidement sous l'action conjuguée de sa langue et de la douce tiédeur du clystère je me retrouve à flotter voluptueusement dans un orgasme ravageur et je crie sans complexe mon bonheur. Lorsque mon ventre est bien rond et mon amant bien satisfait du bon tour qu'il vient de me jouer, il me débarrasse de la canule et me regarde d'un air assez contant de lui comme pour me dire : « Tu vois, moi aussi je sais faire des 'conneries''. »

Mais moi cette mise en appétit ne m'a pas rassasiée, j'empoigne le monsieur avec comme mot d'ordre : « Prend moi ! » « Comme ça ? » « Bien sûr comme ça ! » Avec la pression qui règne dans mon bas-ventre je me sens plus étroite qu'une vierge, ou alors c'est lui qui subitement est monté comme un bouc, mais quel pied !

Les jours qui suivent sont autant de séances d'entraînements pour mon chéri. Décidément il adore son nouveau jouet, moi aussi, surtout s'il ne va pas jouer ailleurs avec ! Je me suis très bien adaptée à ces lavements à répétitions. Je suis toujours en pleine forme et j'y gagne une peau sublime. Pour moi, chaque lavement est comme une gourmandise, mais une gourmandise que l'on ne retrouve pas sur ses hanches...

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Coucou, très beau récit que j'ai adoré, bises, Fifine
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